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Il me semblait voir une image ;
je la cherche, elle ne se saisit pas.
Vous enterrez l’air qu’on respire
dans un nuage de propos qui bruitent.
C’est la flaque que la goutte fait en tombant,
l’aura des prés,
la vis entendue.
Le mime entre vous deux,
la platitude extra des mots emplis d’encens
et le bâtonnet d’un seul mât.
L’angoisse est souterraine,
elle occupe et comprend
que la partie se perd..
avec si peu de gens
et la joie transitive
nous fait revivre
ensemble de saisons
violette au parfum si doux
que les gros doigts cueillent au sol.
Le monde est cette incertitude immense
où mon oreille est tendue comme un arc
et l’huître verse…
L’image est bientôt prise,
nous piétinons l’arc de cercle :
un éclat du verre est passé…
Les souvenirs sont démembrés ?
La place est libre de son vers -
vertueux.
Je n’avais pas confiance en toi - pas confiance en lui.
Le féminin me porte
dans l’antre du hasard
Inhabitée
Qui perçoit ses lueurs d’automne ?
Je m’en vais doucement dans l’embrassade.
Nuée de ponctuations
On va enfin sortir, enfin mourir, enfin mentir !
SORTIR MOURIR MENTIR
Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha!
cette affaire de rage induite
occultation de tout passage
lieu de la mort de ces vies
où l’on nous aura interdit
la tranchée du risible espoir
posée dans la pensée du même
où je vois, que tu m’entendis même ?
(en cours...)